David Bowie est mort. La nouvelle est tombée comme un couperet, annonce froide et lapidaire du décès d’une légende du rock, un immense artiste et une personne, une personnalité hors du commun.
Documentaire
Demain soir sur France 2, dans Infrarouge, sera diffusé le film de David André, Du côté des vivants. Dès le début du documentaire, un carton rappelle que les attentats ont fait plus de 150 morts en France en 2015.
« Daho !
M’avez-vous déjà vu quelque part ?
Rafraîchissez-moi donc la mémoire
Extasié devant une toile de Witsen
A Rome, Londres ou Rennes
Vous m’appeliez Étienne… » (Des Attractions Désastres)

« Dévorer ou être dévoré, voilà la question ! »
Strindberg, Père, Acte III
On remercie Eric Ruf d’avoir invité Arnaud Desplechin à la Comédie française et de lui avoir offert la prestigieuse salle Richelieu pour qu’il monte sa première mise en scène théâtrale, Père d’August Strindberg. Desplechin qui a à son actif neuf longs métrages – son dernier, Trois souvenirs de ma jeunesse, sorti en mai 2015 –, trois courts métrages, un téléfilm (La Forêt) et un film-documentaire (L’Aimée) est indéniablement une figure marquante du panorama cinématographique français.
Dans les dernières minutes du splendide documentaire que Chantal Thomas et son frère Thierry Thomas consacrent tendrement à Roland Barthes, on entend le sémiologue revenir sur les raisons qui l’ont conduit à s’intéresser à la photographie dans La Chambre claire, son ultime essai :
Le mercredi 23 septembre, en seconde partie de soirée, Arte diffuse un passionnant documentaire, « Roland Barthes, le théâtre du langage« . 55 minutes d’archives pour (re)composer un (auto)portrait de celui dont on fêtera, le 12 novembre prochain, le centenaire de la naissance.