Après lecture de l’article intitulé « La vraie “Elena Ferrante” » paru dimanche 2 octobre sur Mediapart et publié simultanément dans le quotidien économique Il Sole 24 Ore, sur le site du Frankfurter Allgemeine Zeitung et dans The New York Review of Books, plusieurs questionnements sont nés… A commencer par celui-ci : pourquoi, pourquoi publier un tel article estampillé « littérature / enquête » sur un écrivain italien qui pendant des années a souhaité vivre dans le pseudonymat, pourquoi aujourd’hui et pas un autre jour ? Pourquoi d’abord en manchette du journal et depuis cette après-midi sous une analyse politique post-rélection de Jérémy Corbin (leader du Labor Party britannique) et à gauche d’un article sur les marchés publics des radars automatiques ? Mais au-dessus de papiers consacrés au référendum anti-migrants en Hongrie, à la « remise en cause du déjà très restrictif droit à l’avortement et une relecture de la Seconde Guerre mondiale » en Pologne et bien, bien, plus haut que les articles traitant de la rentrée littéraire 2016…