Avant la photographie, il y a l’accident. Franck Gérard le raconte : une chute de trois étages, la mort ou presque, le retour à la vie, la survie, une sorte de sursis, et la vie encore, mais différente. C’était le 4 juin 1999. Cette vie, désormais, est inséparable de la photographie. Pour Franck Gérard, la photographie est un mouvement vital. Comme la vie, ses photographies sont faites d’accidents, de bifurcations, de rencontres et hasard, d’une abondance, d’un excès…