Confusions est extrait du prochain album des Psychotic Monks, dont la sortie est annoncée pour le 29 mars. Après un premier album très réussi et une série de concerts qui ont suscité de nombreux enthousiasmes en France et à l’étranger, The Psychotic Monks apparaît aujourd’hui comme un groupe dont on attend les productions. Confusions confirme que cette attente n’est pas infondée.
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L’artiste américaine Lizzo produit une musique particulièrement inventive et percutante.
Avec My Sex, Brooke Candy propose le concentré d’un manifeste queer. Au son d’un rap industriel, Brooke Candy et ses invité.e.s – Mykki Blanco, MNDR, Pussy Riot – égrènent des propositions pouvant paraître paradoxales et définissant de nouvelles (non)identités, de nouveaux modes du corps et de la relation, de nouvelles figures de la sexualité.
She, le dernier album de Muthoni Drummer Queen, tourne, comme son titre l’indique, autour de la figure féminine. La chanteuse, parolière et musicienne kenyane y développe plusieurs approches de la condition féminine mais toujours en rapport avec le politique et le social. Ses textes sont à la fois critiques et visent à l’empowerment.
Extrait de l’album You Will Not Die, de Nakhane, « Clairvoyant » est placé sous le signe du rêve et de l’image.
Extrait de l’album Joy as an Act of Resistance, du groupe de punk-rock anglais IDLES, « Samaritans » attaque la masculinité par définition toxique, violente, aliénante.
Extrait d’Otodi, le nouvel album du groupe Vaudou Game, « Tata fatiguée » énonce des paroles directement politiques sur un rythme impeccablement funk.
Le nom pourrait exprimer une espérance politique. Il peut aussi renvoyer à quelque chose de plus intime et sensible, des blessures encore vives. Actes Et Fractures est un jeune groupe dont le premier album, Nuits Blanches, présente un concentré de talents et de promesses – disque à la fois, donc, politique, intime et sensible.
The Gypsy Faerie Queen s’ouvre sur quelques notes fragiles, au piano d’abord, auquel s’adjoint l’esquisse d’une mélodie très simple au violon. Cette ouverture semble nostalgique, étrangement belle – une possibilité naissante, une existence nouvelle qui se décide à être. Ou le retour d’un souvenir lointain comme une voix d’enfant. La musique a été composée par Nick Cave, le texte est écrit par Marianne Faithfull.
De nouveau sa voix était là. A nouveau. Soudain, sa voix reconnaissable entre mille. Avec sa tristesse discrète, murmurée. Avec son espoir prononcé presque en silence. La tristesse et l’espoir sont constatés dans la voix, ils sont dits et chantés et existent de manière égale. Comme une prière ou un appel, une prière non religieuse mais comme l’appel d’un homme seul à celui ou celle que l’on aime, que l’on a aimé. Un appel à cette absence qu’est l’autre et à l’absence qu’il ou elle a laissée pour toujours.
En prélude à son nouvel album Rest, qui sortira en novembre, Charlotte Gainsbourg vient de rendre public le premier extrait de celui-ci, également intitulé « Rest ». Le titre joue sur la polysémie du mot : le verbe « rester », mais aussi ce qui reste de quelque chose, comme une trace, un souvenir, ou encore le repos, la mort (to rest).

Avec leur nouveau titre Void, sur lequel sont invités Clarens et Timsters, le duo Colorado crée un moment musical étrange et captivant, alliant minimalisme et complexité, musique expérimentale et pop légère.