Comme le souligne Jean-Philippe Cazier, les livres de Juliette Mézenc peuvent être lus comme une réflexion au sujet de la notion de frontière mais aussi comme une pratique des frontières – réflexion et pratique subversives puisqu’elles impliquent de nouveaux points de vue sur la frontière, des traversées et déplacements des frontières constituées du monde, des catégories, des genres, des corps, des psychismes : une subversion, une mise en crise qui concernent autant le politique, l’être du monde, que le littéraire.
Category Archive: Juliette Mézenc
Dixième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Neuvième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Huitième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Septième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Sixième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Cinquième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Quatrième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Troisième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Deuxième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Sujets sensibles de Juliette Mézenc est offert au téléchargement par l’auteure et son éditeur (publie.net) durant le temps du confinement. A cette occasion nous republions l’entretien que Juliette Mézenc avait accordé à Jean-Philippe Cazier en décembre 2016. Il y est question de rencontres, frontières, migrations, du temps, de l’identité et de la multiplicité, du genre, du politique, de la lecture – et bien sûr de l’écriture.
Avec Des espèces de dissolution, Juliette Mézenc écrit un livre déstabilisant qui brouille toutes les frontières : celles du récit, des genres, des identités, des règnes, de la conscience, du monde.
Si l’on voulait avoir un fil rouge pour lire les textes de Juliette Mézenc, on pourrait d’abord penser à la notion de « frontière ». Juliette Mézenc écrit au sujet des frontières, elle les obscurcit, elle écrit en se situant sur la frontière.
Dans Des espèces de dissolution, il ne s’agit pas tout à fait de « dissolution », et l’on ne sait pas clairement de quoi il s’agit. Les dissolutions dont il est question dans le livre n’ont jamais été vues ni expérimentées. Leur nature est inconnue et le mot n’est pas totalement adéquat. Comment le langage pourrait-il les dire ?