Neuvième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
« (…) quand on pense que même pour les spécimens de sa propre espèce l’espèce humaine est nuisible, et pire, quand on pense que pour la totalité de l’espèce humaine l’espèce humaine est nuisible, les bras t’en tombent, et les oreilles et le coeur, on tombe tout entier devant cette pensée, même la pensée tombe quand on y pense »
Texte : Juliette Mézenc ; Voix : Basile Gantelet ; Son/musique : Solal Gantelet.
A propos du livre de Juliette Mézenc, lire l’article de Cécile Viguier et celui de Jean-Philippe Cazier.
Juliette Mézenc vient de publier Journal du brise-lames, aux éditions publie.net.