Huitième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
« (…) jusqu’à ce que l’herbe déborde de ma vulve ronde et blanche, très légèrement duvetée, qu’est-ce qu’on a ri ce jour-là de cette herbe qui me faisait une moustache verte, une moustache du bas on disait, comme quand on renverse la tête et que les cheveux font la barbe, est-ce que c’était avant ou après avoir croqué un bout de psilo, je ne sais plus… »
Texte : Juliette Mézenc ; Voix : Basile Gantelet ; Son/musique : Solal Gantelet.
A propos du livre de Juliette Mézenc, lire l’article de Cécile Viguier et celui de Jean-Philippe Cazier.
Juliette Mézenc vient de publier Journal du brise-lames, aux éditions publie.net.