Sixième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
« (…) les yeux fermés à observer en direct les microbes faire leur travail de microbes, c’était le plus beau film que j’avais jamais vu, écran géant, images ultra-haute définition, scénario réduit à son strict minimum et donc parfait, des personnages d’une justesse inégalée, aucune psychologie, juste des trajectoires nécessaires, des relations nécessaires, enfin du grand cinéma, et zéro budget avec ça »
Texte : Juliette Mézenc ; Voix : Basile Gantelet ; Son/musique : Solal Gantelet.
A propos du livre de Juliette Mézenc, lire l’article de Cécile Viguier et celui de Jean-Philippe Cazier.