En ces temps de réécriture(s) permanente(s) de l’Histoire, à l’ère des fake-news, de la post-vérité et des exubérances érigées en nouvelle doxa bolloréenne, il convient de remettre sinon l’église 2.0 au milieu du village numérique du moins un peu de fantaisie dans le morose. Fort de son savoir d’autodidacte diplômé, Boris-Hubert Loyer vous propose un petit précis d’histoire-géo pour les pas trop nuls qui sauront séparer le vrai grain du faux livresque. Cinquième épisode du PPHA : Pavlov.

En ces temps de réécriture(s) permanente(s) de l’histoire, à l’ère des fake-news, de la post-vérité et des exubérances érigées en nouvelle doxa bolloréenne, il convient de remettre sinon l’église 2.0 au milieu du village numérique du moins un peu de fantaisie dans le morose. Fort de son savoir d’autodidacte diplômé, Boris-Hubert Loyer vous propose un petit précis d’histoire-géo pour les pas trop nuls qui sauront séparer le vrai grain du faux livresque. Quatrième épisode : le « lent remplacement ».

En ces temps de réécriture(s) permanente(s) de l’histoire, à l’ère des fake-news, de la post-vérité et des exubérances érigées en nouvelle doxa bolloréenne, il convient de remettre sinon l’église 2.0 au milieu du village numérique du moins un peu de fantaisie dans le morose. Fort de son savoir d’autodidacte diplômé, Boris-Hubert Loyer vous propose un petit précis d’histoire-géo pour les pas trop nuls qui sauront séparer le vrai grain du faux livresque. Troisième volet : Nikola Tesla.

En ces temps de réécriture(s) permanente(s) de l’histoire, à l’ère des fake-news, de la post-vérité et des exubérances érigées en nouvelle doxa bolloréenne, il convient de remettre sinon l’église 2.0 au milieu du village numérique du moins un peu de fantaisie dans le morose. Fort de son savoir d’autodidacte diplômé, Boris-Hubert Loyer vous propose un petit précis d’histoire-géo pour les pas trop nuls qui sauront séparer le vrai grain du faux livresque. Deuxième volet : le Lourdistan.

En ces temps de réécriture(s) permanente(s) de l’histoire, à l’ère des fake-news, de la post-vérité et des exubérances érigées en nouvelle doxa bolloréenne, il convient de remettre sinon l’église 2.0 au milieu du village numérique du moins un peu de fantaisie dans le morose. Fort de son savoir d’autodidacte diplômé, Boris-Hubert Loyer vous propose un petit précis d’histoire-géo pour les pas trop nuls qui sauront séparer le vrai grain du faux livresque. En ouverture de cette nouvelle rubrique qui ne fera pas date : Joseph-Edgar Davout.

L’épidémie de Covid-19 a des conséquences inattendues sur ma personne. En parfait hypocondriaque ayant tendance à la nosophobie, j’ai plus d’une fois cru que j’avais l’intégralité des symptômes de la maladie – à l’exception de la fièvre, d’une toux persistante, de la perte de goût et d’odorat, de maux de tête et de difficulté à respirer. Mais ce n’est pas le plus grave. Au cours de mes nombreuses recherches en épidémiologie domestique entre deux prises de température rectale, j’ai constaté que si la pandémie de Covid-19 avait d’abord remplacé ma colère par une sidération compréhensible, elle m’a rendu plus grossier qu’à l’ordinaire et mené vers cette conclusion sans appel : le coronavirus rend con.

Troisième mois de l’année et dernier moi de cette série de chroniques prétexte à toutes les inepties sous couvert de culture générale copiée-collée sur Internet, Mars vient du latin Martius en honneur au dieu romain de la guerre. Ce qui en fait donc un mois martial par excellence : ce n’est pas pour rien que la rigueur militaire emprunte à Mars pour commander aux troupes qui s’ébrouent à l’unisson quand le chef de colonne leur crie « en avant, mars ! » pour les faire avancer au pas le 14 juillet sur les Champs Elysées.

De tous les mois de l’année, le mois de février est mathématiquement celui qui passe le plus vite et selon la maxime, février serait « entre tous les mois, le plus court et le moins courtois ». On aurait donc affaire à un mois pressé d’en finir en plus d’être un peu bourru si l’on en croit la croyance populaire. Mais ne cédons pas au diktat du dicton et hâtons nous d’en parler avant de voir débouler mars.