Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Les clients du café connaissent bien l’enfer, même s’ils ne l’appellent pas par son nom…
Le mot « liberté » leur rappelle la cour entourée de barbelés. Quant à « homme »… N’est-on pas homme dès sa naissance, dès son premier cri ? Mais il est difficile de l’admettre et plus encore de s’en accommoder. »
Aslı Erdoğan, Le Bâtiment de pierre, traduit du turc par Jean Descat, Actes Sud, 2013 (publication en Turquie en 2009), p. 12.
Demain, 12 décembre 2016 à 20h, La Maison de la Poésie accueillera une soirée de soutien et de solidarité à Aslı Erdoğan — Renseignements ici
Diacritik vous invite à lire cet article du journal Kedistan qui rappelle combien le combat pour Aslı Erdoğan va bien au-delà de son seul nom et engage la libération d’opposants au régime détenus dans des conditions arbitraires.