Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer. Diacritik publie aujourd’hui une lettre d’Asli Erdogan adressée aux médias et auteurs qui se sont fait l’écho de son emprisonnement. Cette lettre est publiée simultanément sur Kedistan, Nuit & Jour, ActuaLitté et Diacritik, et lue à Paris (Maison de la Poésie), Nantes, Bordeaux et à la Maison éclose en Suisse. Lire pour qu’elle soit libre.