Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Les clients du café connaissent bien l’enfer, même s’ils ne l’appellent pas par son nom…
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Les clients du café connaissent bien l’enfer, même s’ils ne l’appellent pas par son nom…
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Un texte par jour, jusqu’à la libération d’Aslı Erdoğan.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Qui ne souhaiterait mener une vie de combats et d’aventures ?
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Imaginez ceci : dans la rue qui mène au bâtiment de pierre, il y a un café, devant le café, été comme hiver, se tient un homme. A l’intérieur du bâtiment, une immense cour. Bourdant les escaliers qui entourent la cour, des fils de fer barbelés dépassant la taille d’un homme… »
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer. Un texte par jour, jusqu’à la libération d’Aslı Erdoğan. Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Un petit enfant a dit un jour : si tu ne profites pas de la vie, c’est elle qui profitera de toi.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Un texte par jour, jusqu’à la libération d’Aslı Erdoğan.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Si l’on veut écrire, on doit le faire avec son corps nu et vulnérable sous la peau… »
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Les faits sont patents, discordants, grossiers… Ils entendent parler fort. A ceux qui s’intéressent aux choses importantes, je laisse les faits, entassés comme des pierres géantes. Ce qui m’intéresse, moi, c’est seulement ce qu’ils chuchotent entre eux ».
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« « Sauve-toi par ici », disait-elle, en montrant le chemin ouvert dans les eaux noires par ses lourdes larmes limoneuses… » , écrit Aslı Erdoğan dans Les Oiseaux de bois.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Un texte par jour, jusqu’à la libération d’Aslı Erdoğan.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Retourner vers la vie réelle, quelle qu’elle fût », écrit Aslı Erdoğan à propos de son personnage Filiz dans Les Oiseaux de bois.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer. Mobilisons-nous, relayons la liberté.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer. Mobilisons-nous, relayons la liberté.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« Il ne restait rien qui fût moi » écrit Aslı Erdoğan dans Le bâtiment de pierre.
Diffuser, le plus largement, le plus fort possible, la voix de celle qu’un régime autoritaire croit pouvoir étouffer.
Mobilisons-nous, relayons la liberté.
« L’écriture est sacrée et il faut la protéger », déclare Aslı Erdoğan dans un entretien avec Mehmet Basutçu.