Dixième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Des espèces de dissolution
Neuvième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Huitième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Septième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Sixième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Cinquième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Quatrième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Troisième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Deuxième lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Lecture d’un extrait du « Monologue de Bassoléa », un des chapitres de Des espèces de dissolution, de Juliette Mézenc, paru en 2019 aux éditions de l’Attente.
Avec Des espèces de dissolution, Juliette Mézenc écrit un livre déstabilisant qui brouille toutes les frontières : celles du récit, des genres, des identités, des règnes, de la conscience, du monde.
Si l’on voulait avoir un fil rouge pour lire les textes de Juliette Mézenc, on pourrait d’abord penser à la notion de « frontière ». Juliette Mézenc écrit au sujet des frontières, elle les obscurcit, elle écrit en se situant sur la frontière.
Dans Des espèces de dissolution, il ne s’agit pas tout à fait de « dissolution », et l’on ne sait pas clairement de quoi il s’agit. Les dissolutions dont il est question dans le livre n’ont jamais été vues ni expérimentées. Leur nature est inconnue et le mot n’est pas totalement adéquat. Comment le langage pourrait-il les dire ?