Elle a offert la liberté à son public (FAZ), elle a porté sur écran la vie intérieure de femmes. Mort, féminité, liberté, cinéma, chefs d’œuvre, modernité sont les mots les plus employés par la presse mondiale en hommage à Chantal Akerman.
Et ces portraits et photographies comme les visages multiples d’une femme insaisissable.

Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) :
Le Monde et une « Chantal Akerman, cinéaste abrasive », sous la plume d’Isabelle Regnier — mais aussi un autoportrait « et voilà pourquoi Chantal »
Un livre un jour rediffuse une émission de 2014. Olivier Barrot recevait Chantal Akerman pour Ma mère rit, autoportrait à vif publié au Mercure de France (2013)
Au début, c’était un cataclysme avec de la brûlure et de l’exaltation.
Des mots, toujours les mêmes, sans cesse répétés, j’ai fait connaissance avec les mots d’amour d’une langue ancienne.
J’ai tant parlé.
J’aurais pas dû.
Oui, je revivais.
J’arrêtais de voir ma mère mourir.
J’arrêtais de ne pas vivre.
Il y avait de la vie en moi.
Toute une vie.
Une pleine vie.
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sur Diacritik,
Les mots de Barthes, en écho
l’hommage habité de Johan Faerber
