Shakespeare, Cadiot, Ostermeier et Podalydès réunis pour un Roi Lear de Comédie (française) : l’affiche est trop alléchante pour ne pas être irrésistible. Les billets sont pris cet été pour un spectacle à voir à l’automne, spectacle qu’on imagine grandiose et extravagant.
Shakespeare
2016 fut l’année de la quatre centième commémoration de la mort de Shakespeare et celle du Brexit. Or une des tragédies de ce même auteur, Le roi Lear, a quelques similitudes avec l’avant et l’après Brexit…
Les 26, 27 et 28 novembre derniers, ont eu lieu aux Bouffes du Nord trois après-midis de rencontre avec Peter Brook et ses collaborateurs, qui proposaient de redécouvrir avec le public les secrets de ce qu’ont vécu les murs de ce théâtre – qui a été le sien pendant quarante ans et où se jouait alors son spectacle, The Valley of Astonishment.
L’idée qui traverse les nouvelles composant Ravive, de Romain Verger, est que l’étrange et le surnaturel, le fantastique, n’existent pas en dehors de la nature mais dans une nature hors des cadres de notre pensée encore classique, celle de la représentation et de la rationalisation.
Yorick, « prince d’Aquitaine à la tour abolie » comme l’écrivait Nerval d’un autre désespéré, a tenu des chroniques dominicales dans les colonnes de Diacritik, commenté le monde et ses événements de sa prose noire et ironique, fragments et éclats d’un chaos qu’un regard et une vision viennent unifier.