L’imaginaire de la cabane, Marielle Macé le souligne dans son petit livre, connaît un engouement frappant dans différents domaines de la pensée depuis quelques années : en littérature, en anthropologie, en philosophie, en politique. Il est paradoxal que les deux auteurs dont il est question ici, Marielle Macé donc et Lionel Ruffel, choisissent d’en décliner le motif à leur tour pour y installer l’énergie politique de re-création que tous deux professent, promeuvent, espèrent et appellent – car la cabane, après tout, évoque d’abord le repli, la sortie du monde.
polémique
Yann Moix n’aime pas les femmes de cinquante ans. C’est son droit, cela s’appelle la liberté d’expression. Il a le droit de le dire haut et fort, et de passer pour un con aux yeux d’une bonne partie de la population.
À la suite de la récente et énième séquence homophobe de Touche Pas à Mon Poste !, on peut se demander si à l’ère d’Internet, les émissions de plateau tels Touche Pas à Mon Poste !, On n’est pas couché ou Salut Les Terriens ne sont pas devenus des monstres.
A la suite de la publication sur Diacritik d’un entretien avec Yan Lindingre à propos de la création du prix « couilles au cul » et parce que nommée dans la réponse à la question « comprenez-vous les réactions féminines qu’on a pu lire ça et là sur les réseaux sociaux ? », Tanxxx a d’abord répondu en commentaire sous l’article. Loin de vouloir démarrer (et encore moins alimenter) une polémique, Diacritik a décidé de publier la réponse de l’illustratrice, affichiste et auteur de bandes dessinées dans les pages du magazine.
A chaque année suffit sa polémique. Le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême 2016 n’a pas encore débuté que l’on se demande déjà quelle sera la nouvelle bronca, la prochaine querelle… On a déjà été servi :
Via notre correspondant permanent en Belgique, Jacques Dubois (dont Diacritik se permet de rappeler qu’il est spécialiste des romanciers du réel et de Simenon qu’il édite en Pléiade, c’est important pour la suite), nous parviennent deux nouvelles : depuis Bruxelles, « une bagarre paralittéraire » et depuis Liège, une revue dérivante.