Avec Avant que j’oublie, Anne Pauly signe un splendide et rare premier roman qui paraît ces jours-ci en poche chez Verdier. Ce vibrant récit creuse la mémoire d’un père par sa fille plongée dans un deuil où, entre douleur et cocasserie, il s’agira pour elle de bâtir un mausolée incandescent. Roman de transfuge de classe diront certains : rien n’est moins sûr. À l’occasion de sa publication en grand format, Diacritik était allé à la rencontre de la romancière. Retour.
Anne Pauly
Retrouvez ici les trois captations vidéo des trois journées des Enjeux contemporains, diffusées en direct depuis le Théâtre du Vieux-Colombier Comédie-Française.
En partenariat avec Diacritik, la Maison des écrivains et de la littérature vous offre l’un des festivals de littérature contemporaine parmi les plus riches en un clic, en live, en restant chez vous, calé dans votre fauteuil. Crise sanitaire oblige, la nouvelle édition des Enjeux Contemporains aura lieu cette année depuis le Vieux Colombier sans public mais sera retransmis en direct sur Diacritik.
En partenariat avec Diacritik, la Maison des écrivains et de la littérature vous offre l’un des festivals de littérature contemporaine parmi les plus riches en un clic, en live, en restant chez vous, calé dans votre fauteuil. Crise sanitaire oblige, la nouvelle édition des Enjeux Contemporains aura lieu cette année depuis le Vieux Colombier sans public mais sera retransmise en direct depuis Diacritik.
C’était la révélation de la rentrée et c’est désormais le Prix du Livre Inter 2020 (présidé par Philippe Lançon) : Avec Avant que j’oublie, Anne Pauly signe un splendide et rare premier roman. Paru chez Verdier, dans la collection « Chaoïd », ce vibrant récit creuse la mémoire d’un père par sa fille plongée dans un deuil où, entre douleur et cocasserie, il s’agira pour elle de bâtir un mausolée incandescent. Roman de transfuge de classe diront certains : rien n’est moins sûr. A l’occasion de sa publication, Diacritik était allé à la rencontre de la romancière.
C’est la révélation de la rentrée : avec Avant que j’oublie, Anne Pauly signe un splendide et rare premier roman. Paru ces jours-ci chez Verdier, dans la collection « Chaoïd », ce vibrant récit creuse la mémoire d’un père par sa fille plongée dans un deuil où, entre douleur et cocasserie, il s’agira pour elle de bâtir un mausolée incandescent. Roman de transfuge de classe diront certains : rien n’est moins sûr. A l’occasion de sa publication, Diacritik est allé à la rencontre de la romancière pour parler avec elle de ce texte parmi les plus importants de cette année, tout juste couronné par le Prix « Envoyé par la Poste ».
Terrain Vague, indéniablement la meilleure revue du moment, l’une des plus audacieuses et neuves, lance ce mercredi, avec force joie et cotillons, son quatrième numéro à la Générale.
Ce dimanche, de midi à minuit, la revue borderline Terrain Vague & à La Folie présentent VOL. 2, le festival dédié aux éditions indépendantes, aux fanzines queer, féministes et alliés. Après le succès de la première édition en septembre, Volumes réinvestit La Folie à la Villette pour présenter la fine fleur des revues indépendantes et intrépides, l’occasion également de découvrir le #3 de Terrain Vague, décidément l’une des plus belles réalisations collectives du moment.
Ce soir, à partir de 19h, aura lieu à La Colonie, nouveau lieu ouvert par Kader Attia en octobre, le lancement du troisième numéro de Terrain Vague, la revue queer et bordeline, et sans conteste l’une des meilleures revues du moment emmenée notamment par Anne Pauly, Adam Richards Love, Pierre Andreotti et Antoine Pietrobelli.
Lancée en juillet 2015 par un somptueux et riche premier numéro, Terrain Vague s’affirme comme une revue borderline explorant, selon ses propres dires, les lisières du genre, du féminisme, de la pop culture et de l’art contemporain. Créant des rencontres inattendues entre plasticiens et philosophes, critiques d’art et graphistes notamment, Terrain Vague ne cesse d’interroger avec force expérimentations les identités queer dans leur multiplicité à l’instar du deuxième numéro paru il y a peu où la drag queen terroriste Christeene côtoie les hommes enceints de l’Antiquité. Diacritik a voulu revenir le temps d’un grand entretien sur le projet de la revue avec ses fondateurs et directeurs Anne Pauly, Antoine Pietrobelli, Pierre Andreotti et Adam Love qui se sont prêtés collectivement au jeu des questions.