Ce dimanche 27 novembre, à La Pop, s’est achevé « Titanic, hélas », d’Yves-Noël Genod. Celui-ci y fait ses adieux : « Ce sont mes adieux ! J’espère vous faire pleurer. Je suis en pleine forme mais, depuis quelque temps, plus assez de commandes et surtout pas assez de public pour continuer », dit-il. La cinéaste Vivianne Perelmuter dessine dans ce texte une trace de ce spectacle, de ces adieux.
Yves-Noël Genod
Le premier salon international de la mise en scène organisé par Stéphane Bouquet, Robert Cantarella et Philippe Gladieux, en partenariat avec Diacritik, propose de donner du temps et de l’espace à des metteurs en scène qui souhaitent partager un projet avec un public et des professionnels.
« Pourriez-vous n’être plus ce superbe Hippolyte ? » Sur la scène avant les feux, un garçon nu ne fait rien, affalé dans un fauteuil. Sa chair éboulée, sa nudité veule font étrangement penser à l’Hippolyte de Sarah Kane.