Marche des libertés. Paris, 16 janvier 2021. Reportage photo de Jean-Philippe Cazier.
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Marche des libertés contre les lois liberticides. Paris, 28 novembre 2020. Reportage photo de Jean-Philippe Cazier.
Depuis le 22 octobre dernier, l’interdiction quasi absolue de l’avortement a été prononcée en Pologne par le Tribunal Constitutionnel. Cette décision privilégie la morale catholique sur le droit. Après des attaques, depuis des mois, contre les personnes LGBT, les femmes jouent de nouveau le rôle de l’ennemi de l’Etat qui, faute de pouvoir faire passer ses lois liberticides par la voie parlementaire, les impose à l’aide d’une cour suprême aux mains d’alliés du PiS, parti conservateur au pouvoir. Un rassemblement avait lieu à Paris ce dimanche 25 octobre en solidarité avec les femmes polonaises. Reportage photo de Jean-Philippe Cazier.
Marche des sans-papiers/Marche des solidarités. Paris, République, 17 octobre 2020. Reportage photo de Jean-Philippe Cazier.
Indubitablement, avec Un Monde sans rivage qui paraît ces jours-ci chez Actes Sud, Hélène Gaudy signe un des grands romans de nos années 10. Dans ce récit épique de l’expédition polaire menée en 1897 par trois Suédois, Hélène Gaudy offre un puissant roman photosensible en engageant une des plus importantes réflexions de notre temps sur le rôle des images dans nos vies.
La saison des essais n’a pas encore débuté que Charles Coustille et Léo Lepage viennent déjà, avec Parking Péguy, de signer en cette rentrée littéraire l’un des plus remarquables et plus neufs essais critiques de ces dernières années. Parking Péguy interroge ainsi l’œuvre de Charles Péguy, son legs et sa postérité, à la manière d’une exploration, notamment photographique, de la France par les lieux qui portent le nom de Péguy.
Ne ratez pas la pépite documentaire diffusée dimanche à 19h15 sur Arte (et en replay jusqu’au 28 juin 2019). Le film de Bernd Boehm raconte La Belle Époque, à Paris, à travers des archives exhumées par le photographe allemand Werner Bokelberg, des centaines de clichés des rues et devantures parisiennes, marchands ambulants et autres petits métiers qui tissent le fil de 26 minutes passionnantes (et bien trop courtes).


Je crois ne pas me tromper en avançant que les écrits de Manuel Daull lui ressemblent, tout en ressemblant à… rien, soit à… quelque chose, de vraiment singulier, et d’assez durassien par moments : un mélange d’insistance et de fugacité, de fureur et de délicatesse, de largesse et de retrait, dans les sourires, la tristesse, la douceur, le silence, l’attention, le regard, le noir, la lumière, le murmure des eaux – des textes qui résonnent longtemps, et qui défient les genres : parole autobiographique tressée à des biographies fictives.

Remarquable par sa chevelure couleur d’or-pâle, elle appartient à ce genre de femmes nommées, sans doute en mémoire d’Ève, les blondes célestes, et dont l’épiderme satiné ressemble à du papier de soie appliqué sur la chair, qui frissonne sous l’hiver ou s’épanouit au soleil du regard, en rendant la main jalouse de l’œil.
Dernière partie du photoreportage de Julian Walter en Grèce, sur l’île de Lesbos, au cœur du camp de réfugiés de Moria : Life on the Island | La vie sur l’île.
La première partie du reportage de Julian Walter est à lire ici, la seconde là.