
En voyage, on ne peut remettre le réel à demain.
Il vous saute à la gorge comme une rencontre fortuite et inévitable dans la forêt.
Et c’est tantôt un émerveillement, tantôt une terreur, tantôt des instants frontières que j’ai traversés avec des yeux de lémurien.
Puis, comme un couperet, vient la fin du voyage.