Les dénonciateurs de la catastrophe écologique ont été raillés comme des « gourous apocalyptiques » annonçant indûment la « fin du monde ». C’est effectivement l’idée ce que je vais défendre ici. Mais en un sens un peu plus fin que celui de la disparition de toute vie… Et, paradoxalement, cette « fin du monde » est peut-être la seule bonne nouvelle de ce temps désastreux.
Fin du monde
Aurélien Barrau vient de publier Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité, un livre fondamental pour comprendre la crise majeure à laquelle nous sommes confrontés et à laquelle il nous faut en urgence répondre. Contributeur régulier de Diacritik, Aurélien Barrau a accepté de sortir de son « ascèse médiatique » pour répondre à nos questions.
Exigeons du pouvoir politique qu’il impose le nécessaire. C’est sa raison d’être, son droit et son devoir.
Et si on se mettait vraiment en tête une bonne fois pour toute que la fin est proche ?