Pour la 5e édition de ses rencontres, « Littérature au centre », en partenariat avec Diacritik, organise à Clermont-Ferrand tout au long de la semaine un festival autour des liens entre littérature et corps. Après avoir questionné les années précédentes le cinéma, la musique, la cuisine puis la ville, cette année, les rencontres LAC confrontent l’écriture aux représentations du corps : comment le corps se donne-t-il à lire ? Existe-t-il un corps politique ? Comment donner à voir socialement le corps ?

Pour la 4e édition de ses rencontres, « Littérature au centre », en partenariat avec Diacritik, organise à Clermont-Ferrand tout au long de la semaine un festival autour des liens entre littérature et villes. Après avoir questionné les années précédentes le cinéma, la musique puis la cuisine, cette année, les rencontres LAC confrontent l’écriture aux représentations de la ville selon que la ville accueille ou rejette, dessine des architectures qui tressent nos vies ou encore déploie comme jamais l’imaginaire romanesque. Écrivains, architectes et sociologues dialogueront ainsi chaque jour autour de la ville.

Pour la 4e édition de ses rencontres, « Littérature au centre », en partenariat avec Diacritik, organise à Clermont-Ferrand tout au long de la semaine un festival autour des liens entre littérature et villes. Après avoir questionné les années précédentes le cinéma, la musique puis la cuisine, cette année, les rencontres LAC confrontent l’écriture aux représentations de la ville selon que la ville accueille ou rejette, dessine des architectures qui tressent nos vies ou encore déploie comme jamais l’imaginaire romanesque. Écrivains, architectes et sociologues dialogueront ainsi chaque jour autour de la ville.

« Les arbres sont. Dans le ciel et contre lui. Épandus, écartelés en dentelles savantes. La terre les porte, ils dessinent sur elle, sur sa peau ancienne, des signes, des architectures ; la terre les nourrit, ils puisent et fouillent en elle, enfoncés ; ensuite ils sont dans le ciel et contre lui se tendent. Ils s’affolent parfois, quand l’orage d’été les prend, quand les pluies froides de novembre hachent les dernières feuilles cuivrées.