Le pli était pris, parce que le plus souvent j’écris en rond, comme avec mon tricotin, ce que j’écris n’a pas vraiment de début, pas de fin, et je reviens toujours au même endroit du récit. J’écris à l’endroit, à l’envers, en boucle.
Emmanuelle Pagano, Claude Rouyer, Le travail de mourir.

Écrire pour résister, et aussi pour éviter le pire, c’est aussi ce que fait Emmanuelle Salasc en notant l’histoire de sa narratrice Lucie, dans son dernier roman Hors gel, dixième livre chez P.O.L, après neuf parus sous le nom d’Emmanuelle Pagano, qui vient de paraître en poche, chez Folio. Le roman raconte une double menace.

Le pli était pris, parce que le plus souvent j’écris en rond, comme avec mon tricotin, ce que j’écris n’a pas vraiment de début, pas de fin, et je reviens toujours au même endroit du récit. J’écris à l’endroit, à l’envers, en boucle.
Emmanuelle Pagano, Claude Rouyer, Le travail de mourir.

Écrire pour résister, et aussi pour éviter le pire, c’est aussi ce que fait Emmanuelle Salasc en notant l’histoire de sa narratrice Lucie, dans son dernier roman Hors gel, dixième livre chez P.O.L, après neuf parus sous le nom d’Emmanuelle Pagano. Le roman raconte une double menace.