En 2006, Deborah Eisenberg publiait un roman implacablement titré Zwilight of the Superheroes (Le crépuscule des superhéros, L’Olivier, 2009). En 2011, Marco Mancassola lui donne la réplique (sismique) avec La Vita erotica dei superuomini (La Vie sexuelle des super-héros, Gallimard). Comme l’illustration romanesque des installations de Gilles Barbier, L’Hospice (2002) ou du passage des Heroes de David Bowie (1977) (we can be heroes / just for one day) aux Zeroes, dix ans plus tard, sur l’album Never let me down. « Ne tombe pas » sont derniers mots, murmurés, de La Vie sexuelle des super-héros, justement.