Dans un récent entretien avec Johan Faerber, Christophe Manon caractérise “la force motrice” de Porte du Soleil, troisième volet de son cycle Extrêmes et lumineux, ainsi : “Écrire non pas à propos de ou sur la peinture, mais à travers ou avec.” C’est une des trois ou quatre antiennes qui reviennent de manière obsessionnelle dans ces chroniques : on écrit avec, comme on échange en compagnie.