James Scudamore, dont le quatrième livre, Monstres anglais, paraît aujourd’hui aux éditions La Croisée, est le romancier du temps perdu et retrouvé, des strates de vie en grande partie oubliées qui composent nos identités. Sans recomposer ces archives et traces, impossible de se (re)construire, tel est le rôle du récit, dans cette (en)quête, sur soi comme sur les autres.