L’enfant trace du doigt, sur les tomettes, des cercles et des lignes, invisibles, des représentations aussi « vivantes » qu’elles sont « abstraites ». Dans ces droites et ces courbes, « il expose la chair du monde physique » : « Quelque chose se cache ici et il sait que chaque minute qui s’écoule met davantage au jour la vérité, il sait qu’il dévoile les mystères, que le monde ne peut pas soutenir son regard d’enfant, que le monde ne peut rien lui dissimuler ».