Le cinquième numéro de La tête et les cornes poursuit ce qui fait la singularité de cette revue de poésie : privilégier les traductions, élargir le champ de notre perception et compréhension de la poésie contemporaine, ouvrir la poésie à sa pluralité, l’interroger comme espace commun de cette pluralité irréductible – la poésie étant alors le contraire d’une langue composée de mots d’ordre, l’inverse d’une langue surplombante et unifiée.
revue La tête et les cornes
Le quatrième numéro de la revue La tête et les cornes privilégie des traductions de poètes et écrivains étrangers pour rappeler que la poésie n’a pas de langue privilégiée, n’a pas de langue nationale.