Tandis que des millions de congénères se massait par écrans interposés devant le spectacle des stades qataris climatisés au cadavre népalais, je suis retombé par hasard sur Les Dépossédés de Robert McLiam Wilson.
Tandis que des millions de congénères se massait par écrans interposés devant le spectacle des stades qataris climatisés au cadavre népalais, je suis retombé par hasard sur Les Dépossédés de Robert McLiam Wilson.