L’année 2016 étant terminée, il est à présent possible d’en faire un bilan cinématographique sous la forme du « top » auquel s’adonnent bon nombre de rédactions. Si l’exercice est critiquable — particulièrement lorsqu’il s’applique aux domaines culturels —, parce qu’il trie arbitrairement et hiérarchise, la contrainte qu’il présente recouvre néanmoins une vertu.