Le titre du film de Christophe Pellet, Aujourd’hui, rien, peut s’entendre comme l’énoncé d’un parti-pris qui est celui de la banalité : aujourd’hui, rien de spécial, rien de particulier, de notable, de nouveau.
Aujourd’hui rien
A l’occasion des représentations d’Eric von Stroheim au théâtre du Rond-Point, dans une mise en scène de Stanislas Nordey, rencontre avec le dramaturge et cinéaste Christophe Pellet pour un entretien où il est question, bien sûr, de théâtre et de cinéma, mais aussi du désir, de politique, de Bachelard, de l’image, de transgenre, des acteurs, de sexualité, de Racine et de fétichisme ou de l’importance d’inventer de nouveaux moyens de diffusion.