Plus je lis, plus j’écoute et plus j’écris sur Julia Kristeva.
Antonin Veyrac
Ça me plaît que vous n’ayez pas le mal de moi
Ça me plaît, Marina, de t’entendre parler de nous. Ce vers tiré de Insomnie acte sa fragilité paranoïaque et dans le même moment une maturité toute particulière, je veux dire : n’a-t-on jamais, lorsque on le désire, à faire face au retour radoteur des vers et de leur ami Lyrisme ? Des cons de l’enfer musical et des faussaires du sens ?
Ça me plaît que vous n’ayez pas le mal de moi
Ça me plaît, Marina, de t’entendre parler de nous. Ce vers tiré de Insomnie acte sa fragilité paranoïaque et dans le même moment une maturité toute particulière, je veux dire : n’a-t-on jamais, lorsque on le désire, à faire face au retour radoteur des vers et de leur ami Lyrisme ? Des cons de l’enfer musical et des faussaires du sens ?
La semaine du 29 mars au 2 avril 2016 sur Diacritik, retour sur les articles, entretiens et séries publiées, cette fois sous forme d’abécédaire, quelques coulisses de la rédaction et deux ou trois annonces des papiers à suivre. Et avec tout ça, on arrive à laisser vierges quelques lettres de l’abécédaire.