Diacritik fait sa traditionnelle pause estivale pour recharger les batteries, lire la rentrée, préparer des entretiens, imaginer de nouvelles rubriques, etc. A très vite – et bel été à toutes et tous !
Category Archive: Les coulisses de la rédaction
Chères lectrices, chers lecteurs,
Diacritik fait sa pause hivernale et s’active en coulisses pour préparer la rentrée. On se retrouve le 3 janvier 2022 et d’ici là prenez soin de vous.
Très belle fin d’année à tou.te.s !
Diacritik, c’est l’exigence critique, en accès libre. Nous y tenons, comme à notre indépendance.
Chères lectrices et lecteurs diacritiques, le journal fait une pause pour une petite semaine. Les batteries ont besoin d’être rechargées dans cette période compliquée pour toutes et tous.
Courte pause diacritique. La rédaction sera de retour le lundi 24 février prochain.
Retour sur une décennie de cinéma et de musique, en compagnie de Joffrey Speno, Jean-Philippe Cazier, Simona Crippa & Zelda Colonna-Desprats, pour mieux la boucler et poursuivre les découvertes.
La rédaction diacritique a pris ses quartiers d’été : retour le 2 septembre prochain (sauf urgences, comme la tribune d’Aurélien Barrau publiée le 23 août).
Ainsi s’achève la dernière semaine diacritique 2018.
Diacritik entre aujourd’hui en rythme estival : jusqu’au 16 août prochain, mise sur pause des publications quotidiennes du journal. Vous verrez bien sûr toujours paraître des articles, entretiens et séries, mais de manière plus aléatoire.
C’est peut-être toujours à la rumeur de la matière, à l’incandescence des choses tues que Célia Houdart confie depuis bientôt une dizaine d’années chacun de ses romans. Tout un monde lointain qui paraît cette rentrée chez P.O.L. ne fait pas exception à la règle et installe sans détour possible son auteure comme l’une de nos romancières capitales.
Il est des livres qui emportent par l’histoire qu’ils proposent, puissante, véritable lame de fond qui masque le tour de force littéraire qu’une telle puissance suppose : Vera est de ceux-là. Ce pourrait être une histoire d’amour (impossible, dévastatrice), un roman d’apprentissage, un roman social. Tous ces types de récits sont là et pourtant ailleurs, comme un horizon, un idéal et peut-être une béance.
Le 31 août prochain paraîtra aux éditions Liana Levi, dans une traduction de Fanchita Gonzalez-Batlle, Là où l’histoire se termine, roman d’Alessandro Piperno sur la filiation et les soubresauts de l’histoire contemporaine, quand tout se fragmente et implose.