Il serait dommage de ne voir en Jafar Panahi qu’un symbole de la liberté victime de l’intégrisme islamiste. Bien entendu, il est impossible de l’oublier et il n’est pas question une minute de l’oublier, comme on n’oubliera pas le cas de Kiril Srebennikov, cinéaste russe maintenu sous résidence surveillée par le régime autoritaire de Vladimir Poutine.