Là où l’histoire se termine, le quatrième roman d’Alessandro Piperno, vient de sortir en poche dans la collection Piccolo des éditions Liana Levi. Son livre est une interrogation aiguë de la filiation et des soubresauts de l’histoire contemporaine, quand tout se fragmente et implose.
Là où l’histoire se termine
Là où l’histoire se termine, le quatrième roman d’Alessandro Piperno, est une interrogation aiguë de la filiation et des soubresauts de l’histoire contemporaine, quand tout se fragmente et implose. Mêlant récit intimiste et peinture sociale pour composer une comédie drôle, féroce et parfois mélancolique, le romancier italien sonde l’histoire récente (le terrorisme européen) et révèle les dessous de la haute société romaine, une « bonne société qui n’avait plus de nom à présent, ni de prestige, ni de distinction, rien, que des stocks options, des notifications d’ouverture d’enquêtes judiciaires, quelques mauvais pressentiments de caste » . Quelque chose se termine, en effet.
En mars dernier, Alessandro Piperno a accordé un long entretien à Simona Crippa et Christine Marcandier, pour Diacritik.
Le 31 août prochain paraîtra aux éditions Liana Levi, dans une traduction de Fanchita Gonzalez-Batlle, Là où l’histoire se termine, roman d’Alessandro Piperno sur la filiation et les soubresauts de l’histoire contemporaine, quand tout se fragmente et implose.