Dans La Deuxième Disparition de Majorana qui est une réponse au célèbre opuscule de Leonardo Sciascia, Jordi Bonells raconte comment, sous le prétexte d’une recherche pour le CNRS sur ce qu’il appelait alors « la mise en dictature du roman » et sur les trajectoires personnelles des écrivains argentins pendant la dictature militaire, il se rend à Buenos Aires pour retrouver les traces d’Ettore Majorana qui aurait vécu sous un faux nom en Amérique du Sud entre 1939 et 1976.