Desmond Bates, professeur de linguistique en retraite anticipée, en raison d’une surdité qui le handicape, est marié en secondes noces à une femme plus jeune, Fred, décoratrice d’intérieur pétulante, en pleine ascension professionnelle.
David Lodge
L’idée, en proposant en photographie de une de cet article un (petit) échantillon de mon rayon lodgien, n’est pas de faire étalage de ma bibliothèque mais d’illustrer les multiples réseaux de (re)lectures que permet le dernier ouvrage paru de David Lodge, La Chance de l’écrivain, second volume d’un diptyque en apparence ouvertement autobiographique et, de fait, véritable laboratoire de son œuvre.
Ainsi David Lodge serait Né au bon moment (Quite A Good Time to Be Born), premier volume de mémoires (1935-1975) qui paraît en poche chez Rivages.
Agenda diacritique du 21 au 26 mars, avec des articles, des inédits littéraires, des photographies, de longs entretiens avec les acteurs de la scène contemporaine et pour plonger dans le name dropping : Barthes, Lodge, Bilal, Derrida, Marc-Antoine Serra, Franz Fanon, Renaud Monfourny, Michel-Edouard Leclerc, Henry James, Juliette Mézenc, Mario Vargas Llosa, Frank Smith, Fred le Chevalier, et un énorme etc.
Ainsi David Lodge serait Né au bon moment (Quite A Good Time to Be Born), premier volume de mémoires (1935-1975) qui vient de paraître chez Rivages.
Une semaine de Diacritik : du 14 au 19 mars, ce fut BD, littérature, festival, tribunes, dessin de presse, journal littéraire d’Olivier Steiner, chronique grecque, musique, photographies.
« Les Coulisses de la rédaction » changent de formule pour quelques semaines