J’ai été en charge de la première sélection e**position, en 2018. Des six photographes, les six premiers si l’on veut : ceux qui se colleraient, pour la première fois, à la demande que nous leur faisions, Pauline Sauveur et moi. Poser leur appareil quelques minutes et s’interroger, interroger leur travail : s’il devait être défini par une seule image, quelle serait-elle ?
Camille Carbonaro
Astroblème, qui réunit un texte de Lucien Raphmaj et des photographies de SMITH, nous oriente vers un nouvel imaginaire – ou nous désoriente, puisque cet imaginaire est celui d’une nouvelle ère, d’une nouvelle histoire où l’humain n’est plus limitativement humain mais cosmique, où ce qui existe sur Terre s’agence avec le cosmos.