Justice, édition, cinéma. C’est la revue de presse du chutier du soir.
La rumeur selon laquelle le chutier s’est fait embaucher par La Charente Libre est infondée. Mais avouez que c’est à s’y méprendre.
Déclaration d’un participant à la COP21 : «l’écologie ce n’est pas mon rayon et vous n’imaginez pas ce que les chefs d’États gèrent.»
Boris-Hubert Loyer a une passion contrariée pour les musées. Il y a quelques années de cela, il avait été fort marri en visitant le MET de New York, n’hésitant pas à demander au vigile en faction devant l’ascenseur « pardon Monsieur, l’exposition «Jeff Koons on the roof», c’est à quel étage ? ». Avant de s’engouffrer dans la cabine toute honte bue, et néanmoins fier d’avoir dit une koonerie plus grosse que lui dans la langue de Shakespeare.
Pour sa première sur Diacritik, Boris-Hubert a décidé de suivre l’actualité des prix littéraires, exercice qui le plonge dans des affres insondables, n’ayant pas lu tous les livres en lice, hélas.
C’est là qu’est l’os.
La rédaction de Diacritik est heureuse de vous annoncer qu’elle vient de recruter un nouveau chroniqueur en la personne de Boris-Hubert Loyer. Mais qui est-il vraiment ? Éléments de réponses avec cette biographie augmentée à la troisième personne du très singulier.
Nadine Morano lâchée par son camp qui lui retire l’investiture dans sa région, c’est le film de la […]
Alors que les fans de Justin Bieber sont appelés les «Beliebers», les aficionados du légendaire marin imaginé par […]
Le journal L’Opinion racheté par le groupe PPG Industries qui possède notamment les peintures Ripolin, il s’appellera désormais […]
Intégristes, traditionalistes, populistes… Nadine Morano a tort, sa France n’est pas «un pays de race blanche», c’est un […]
Après plusieurs jours passés à se battre avec les feuilles de style, l’administrateur du site Diacritik a été […]