Constance Debré est l’anti-Rubempré, elle brosse une trajectoire inverse de celle du héros de Balzac. Ils ont pourtant un point commun : leur drame est leur nom. Pour Rubempré, ce nom est ce qui l’entrave, il le nie afin d’être reconnu à Paris. Pour Debré, il est ce qui l’enferme, elle veut le détruire pour commencer une vie neuve.