Avec Genie et Paul, la romancière anglaise Natasha Soobramanien s’inscrit dans le champ littéraire mauricien, mais du dehors, au même titre que Bernardin de Saint-Pierre et J.M.G Le Clézio, et non du dedans, comme c’est le cas de sa traductrice, Nathacha Appanah, elle-même écrivaine mauricienne francophone.