pour Émilie et Loïc
On aimerait, mais il s’agit d’un vœu pieux, que la philosophie ne nous arrive jamais sous sa forme dégradée ou désamorcée. Or, tout se passe trop souvent comme si la pensée tendait à être intégrée, à l’image de toute chose, au spectacle et à sa glaçante ironie. À commencer par Le Mythe de Sisyphe (1942) d’Albert Camus.