1. L’acte de lire des poèmes fait penser ; c’est à ça qu’on reconnaît la puissance de ce qu’on nomme poésie, laquelle n’est rien, sinon précisément un mode de la pensée.
1. L’acte de lire des poèmes fait penser ; c’est à ça qu’on reconnaît la puissance de ce qu’on nomme poésie, laquelle n’est rien, sinon précisément un mode de la pensée.