« Sollicitauit inguina mea mille iam mortibus frigida. » (Pétrone, Le Satiricon, XX)
« matando muerte : en vida la has trocado. » (Saint Jean de la Croix)

Il faut le dire sans détour : Arthur Dreyfus n’écrit pas des livres pour les détenteurs du bon goût ni pour les puritains – puisque « dans puritain il y a pur et putain » (p. 203), ce qui prête à confusion… ; il n’écrit pas non plus pour faire plaisir à Maman, il écrirait plutôt contre elle, ce qui revient certes à dire qu’elle se niche partout en creux, comme entre les mots, comme entre les draps ? Mais Maman ne lira pas ça. Ou en diagonale (cet incommensurable).