Les aventures de Perlimtintin.
Les tas d’urgences de Pierre Gattazopoulos.
en marche !
Les aventures de Perlimtintin. Il était attendu au tournant, il nous a joué l’épié nickelé.
Les aventures de Perlimtintin : charité bien ordonnancée commence toujours par le Medef.
Les aventures de Perlimtintin : bricolage et maquillage sont les deux mamelles de la France…
C’est assis (vieille chaise en bois à la peinture écaillée) et soumis (à la page à couvrir, aux mots) que j’écris ces quelques lignes.
Tout aurait donc changé ! Un séisme !

La séquence électorale qui s’est terminée avec le second tour des législatives aura vu l’émergence forte de deux partis dont les noms semblent tout droit sortis d’un brainstorming marketing : En Marche et La France Insoumise. Des deux côtés en effet, la connotation, c’est-à-dire les associations mentales possibles, est beaucoup plus forte que la dénotation, l’identification univoque de la place sur l’échiquier politique.
La peinture me trouble beaucoup. Pas tout, bien sûr, mais quand il y a peinture. Je ne saurais le formuler autrement que par cette idée d’un événement. Quand il y a peinture il n’y a plus rien à dire, peut-être même plus rien à faire, c’est là, devant soi. Reste plus qu’à se taire, regarder, contempler si on veut, se promener du regard. Pas commenter, quelle horreur. La peinture n’appelle aucun commentaire. Plutôt se perdre, s’y perdre.
Malgré lui, hier soir, dans l’euphorie nue de sa victoire, Benoît Hamon a été le candidat de la coupure – l’homme politique inattendu, celui, décidément sans image, qui ne doit pas parvenir à l’image elle-même, qui doit se voir coupé de la télévision.