A dos de Dieu, de Marcel Moreau, fait partie de ces livres plus que radioactifs. Il est un de ces livres terriblement radieux et sombres, brûlant toujours, et dont aucune « demi-vie » des atomes ne pourrait rendre compte – parce qu’un tel livre en appelle à la vie infernalement pleine, entière, énorme et indivisible – vie et mort embrassées.