Se présentant comme la répétition frénétique d’un « je » voué à la superficialité, dont l’idéal est l’image pure et l’immatérialité, le premier livre en solo de Pascale Bérubé déploie, au fur et à mesure des textes qui le composent, une écriture haletante, vibratoire, une écriture des tremblements.