Jochen Mecke s’entretient avec Christian Garcin, notamment autour de Le Bon, la brute et le renard dans le cadre du festival Littérature au Centre 2021, cette année en ligne en partenariat avec Diacritik. Une édition centrée sur « Littérature et animal ».
Le Bon la Brute et le Renard
Depuis son premier roman, vingt ans donc, et sans évoquer ses récits de voyage, Christian Garcin cultive le goût des contrées lointaines : entre autres le Japon, la Chine, la Mongolie, la Russie, la Patagonie, mais également les États-Unis, qui font retour en 2020.
Christian Garcin publie chez Actes Sud un nouveau roman à la croisée des précédents : Le Bon, la Brute et le Renard. On y retrouve des femmes disparues, des personnages familiers et des errances. Précise et malicieuse, l’écriture de l’auteur retrouve ses motifs privilégiés, auxquels il offre un souffle renouvelé et conclusif dans un roman qui, des États-Unis à la Chine en passant par la France, interroge la présence des personnages au monde et à la fiction. Entretien.