Koenig déserte la Légion étrangère. Débarqué à Toulon, il traverse la France jusqu’au bocage normand. Sensible aux variations de couleurs, il a le regard d’un peintre : « Le règne vert éclatait, avec une fraîcheur, une franchise d’attaque qu’il ne soupçonnait pas à ces coloris de verdure » ; « Les yeux, s’ils l’avaient pu, se seraient écrié : du vert, du vert ! encore du vert ! Et du plus éclatant ! Herbe, gazon, pelouse, le mot juste fuyait de cette couleur vive, de soleil et de pluie ».