
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Le weekend dernier tout paraissait encor léger, sans cout
C’était comme ces après-midis d’heures gratuites
à bas les portemonnaies, on vivait presque heureux…
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Le weekend dernier tout paraissait encor léger, sans cout
C’était comme ces après-midis d’heures gratuites
à bas les portemonnaies, on vivait presque heureux…
Sacrifiant sa fierté sur l’autel de la mode des best of de fin d’année et pour clore 2015 sinon en beauté du moins sur une note plus légère que la revue de presse déprimante qu’il avait préparée à l’origine, Boris-Hubert Loyer vous présente aujourd’hui la somme des imbécillités, calembredaines et autres billevesées qui n’avaient pas trouvé place (ni grâce aux yeux de la rédaction en chef) dans les pages du journal : le chutier du Chutier 2015.